10 questions à Cédric Siré, Fondateur et CEO Webedia, sur son accompagnement des participations
10 questions à Cédric Siré
Qu’est-ce qui t’a séduit dans le projet FrenchFood Capital ?
Les hommes d’abord que je considérais comme de grands professionnels et qui sont devenus presque des amis
Qu’as-tu trouvé de différent chez FrenchFood Capital ?
C’est un endroit où il y a bcp de finesse sur la transformation et la connaissance des métiers de l’alimentaire
Pourquoi avoir décidé de t’impliquer chez Les 2 Marmottes ?
Les 2 Marmottes, c’était une marque que je connaissais depuis longtemps dans la notoriété n’était pas en rapport avec les chiffres que je voyais. Il fallait libérer le potentiel.
Quel a été ton accompagnement du dirigeant ?
Coacher sur la croissance, comment on gère de la croissance sans faire trop d’erreurs parce que ce soit dans le numérique ou dans l’infusion, globalement on peut faire exactement les mêmes bêtises.
Et le relationnel dans tout ça ?
Ça a été une vraie histoire entrepreneuriale avec des cycles hauts et des cycles bas. On avait un board d’entrepreneur dans lequel chacun savait que ce ne sont jamais des histoires linéaires.
1 mot pour résumer ces 5 années d’accompagnement ?
Essentiellement du plaisir. Le board était sympa et très professionnel.
La boite était une boite sur lesquels les challenges intellectuels étaient intéressants. Et en plus il y a eu le succès à la fin.
Tu accompagnes maintenant une société 100% digitale, Aliive ?
J’ai eu un peu plus d’apport technique mais comme d’habitude c’est le toucher des people et des dirigeants qui fait 80% de la réussite.
Quelles sont les spécificités de l’accompagnement de FrenchFood Capital ?
Le travail de gardien de but a été bien fait. Dans les boites il n’y a pas de penalty bête. Comme c’est un c’est un fonds sectoriel, le fait de ne pas faire deux fois la même erreur est un atout.
La qualité des boards est un autre atout essentiel.
Pour Les 2 Marmottes, aucune boîte ne pouvait rêver mieux que les 5 personnes qu’il y avait autour de la table. C’est quasiment un board de boite du CAC 40. Ça a probablement permis le succès parce qu’il y avait le bon mix entre le cheveux gris, les entrepreneurs, l’expérience, il n’y avait pas de bullshit
Pourquoi a-t-on besoin de développer les PME de l’alimentaire en France ?
C’est la fin du marketing à l’ancienne de grande conso où on met de l’argent sur la table avec des spots tv pour faire avaler à peu près n’importe quoi à n’importe qui. On a un enjeu d’être un peu plus local, un peu plus responsable, un peu plus qualitatif et de refaire un travail d’atelier, de grands artisans, de grandes maisons
La mission de FrenchFood Capital en une phrase ?
Accompagner les belles entreprises française à se transformer pour offrir le meilleur au plus grand nombre.
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