12 questions à Cédric Taravella sur sa reprise de Chapon et son association avec FrenchFood Capital

12 questions à Cédric Taravella
Comment as-tu rencontré les équipes de FrenchFood Capital ?
Je les ai contactés dans le cadre d’un projet de reprise d’entreprise, après avoir entendu parler d’eux. C’est un fonds réputé pour rassembler des passionnés de gastronomie.
Pourquoi t’être associé à un fonds comme FrenchFood Capital ?
Pour mener un projet ambitieux, je cherchais des partenaires capables de partager cette ambition. Pas seulement financièrement : il fallait aussi un accompagnement logistique, un réseau, des gens capables de jouer un vrai rôle de facilitateur.
Qu’est-ce qui t’a séduit chez FrenchFood Capital ?
Il y a des entrepreneurs et des financiers, donc une vision à la fois concrète et exigeante. Et surtout, ce sont des passionnés de food, des gens qui aiment profondément le sujet.
Un moment fort de l’accompagnement ?
Quand je suis arrivé à la tête de Chapon, on a voulu faire évoluer l’offre. Par exemple, pour lancer une gamme de glaces, les équipes de FrenchFood ont tout de suite su activer leur réseau : les bonnes personnes, les bons chefs. Résultat, on a pu se lancer très vite.
Quelle a été leur plus grande valeur ajoutée ?
Ils apportent une vraie grille de lecture. Ça permet d’ajuster les idées, d’accélérer là où il faut. FrenchFood, c’est un accélérateur de maturité.
L’impact, c’est un sujet important pour toi ?
Pour moi, l’impact va bien au-delà de l’affichage. Il faut pouvoir assumer une ambition forte, parfois radicale. Et pour ça, il faut un fonds qui t’accompagne vraiment. Seul, je ne pourrais pas porter un tel projet jusqu’au bout.
Quel est ton rythme d’interaction avec FrenchFood Capital ?
On a des points mensuels structurés, des échanges téléphoniques hebdos avec les associés, et beaucoup de discussions informelles. Je peux les appeler à tout moment : pour un avis, une mise en relation, un conseil technique.
Qu’apporte le board mis en place ?
Le board a été co-construit avec FrenchFood. Aujourd’hui, j’ai autour de moi un board de très haut niveau, avec des profils très complémentaires. C’est un vrai plus.
Comment tu résumerais leur accompagnement ?
Je me sens pleinement associé. Il y a une vraie transparence. Ils sont dans mon quotidien, avec une grande visibilité sur tout ce qui se passe dans l’entreprise.
Comment accélérer le développement des PME françaises de l’alimentaire ?
On est passés de 30 à 60 personnes en un an et demi. Ça demande beaucoup de structuration, beaucoup de soutien. Sans un fonds impliqué au quotidien, on n’y arrive pas. Il faut partager les joies comme les peines.
Tu recommanderais à d’autres entrepreneurs de s’associer à un fonds ?
Il n’y a pas de magie. Une petite entreprise ne peut pas autofinancer une croissance ambitieuse. Derrière les belles histoires, il y a toujours, à un moment, des entrepreneurs au sens large qui investissent et accompagnent.
La mission de FrenchFood Capital en une phrase ?
Prendre des pépites encore à l’état de PME et en faire de très belles entreprises.
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